Hey les boys de la muscu ! Aujourd’hui, on va parler d’un sujet qui me tient particulièrement à cœur : les pré-workouts. Je sais que certains d’entre vous hésitent encore à en prendre, alors je vais vous partager mon expérience et les faits scientifiques qui expliquent pourquoi ils peuvent vraiment faire la différence dans vos entraînements.
1. Le Boost d’Énergie et de Vigilance : Le Réveil du Guerrier
Vous connaissez cette sensation quand vous arrivez à la salle complètement à plat après une longue journée ? C’est là que le pré-workout fait sa magie ! Grâce à la caféine et d’autres stimulants comme la taurine ou la tyrosine, vous ressentez rapidement une vague d’énergie qui vous met dans le bon mood. La science confirme que la caféine booste la production d’adrénaline et de noradrénaline, ces hormones qui vous préparent à l’effort (1, 2).
Commencez doucement avec les dosages. Pas besoin de vous transformer en pile électrique ! L’objectif est de trouver la dose qui vous donne la pêche sans vous faire vibrer comme un smartphone.
2. La force en plus : quand les poids semblent plus légers
Parlons force pure maintenant. La créatine, présente dans beaucoup de pré-workouts, est votre meilleure alliée pour soulever plus lourd. Elle aide votre corps à produire plus d’ATP, le carburant de vos muscles (3, 4). Dans mon expérience, ça fait vraiment la différence sur les exercices costauds comme le squat ou le soulevé de terre.
Ne vous attendez pas à des miracles du jour au lendemain, mais vous remarquerez que vos séries sont plus propres et que vous pouvez pousser un peu plus loin.
3. L’Endurance : pour tenir la distance
Qui n’a jamais maudit cette sensation de brûlure qui vous empêche de finir vos séries ? La bêta-alanine, un autre ingrédient star des pré-workouts, est là pour vous aider. Elle augmente votre résistance à la fatigue en jouant sur l’acidité musculaire (5, 6).
Sur mes séances de circuits ou de supersets, je sens vraiment la différence. Les brûlures arrivent plus tard, ce qui me permet de maintenir l’intensité plus longtemps. Bien sûr, ça ne remplace pas une bonne hydratation et une alimentation adaptée !
4. La concentration : votre allié mental
Avouez-le, combien de fois vous êtes-vous retrouvé à checker Instagram entre deux séries ? Les pré-workouts contiennent des ingrédients comme la l-tyrosine et la théanine qui boostent votre concentration (7, 8). Résultat ? Vous restez dans votre bulle, focalisé sur vos objectifs.
C’est particulièrement utile après une journée de travail stressante. Au lieu de ruminer vos problèmes, vous êtes à 100% dans votre entraînement.
5. La congestion musculaire : sensation garantie
Ah, le fameux pump ! Cette sensation où vos muscles semblent sur le point d’exploser. La citrulline et l’arginine présentes dans les pré-workouts augmentent le flux sanguin vers vos muscles (9,). Non seulement c’est motivant, mais c’est aussi bénéfique pour la croissance musculaire.
6. La perte de graisse : un coup de pouce bienvenu
En période de sèche, chaque petit plus compte. Les stimulants des pré-workouts augmentent légèrement votre métabolisme et peuvent aider à la mobilisation des graisses.
Ca ne remplacera jamais une alimentation équilibrée !
7. Moins de douleurs : pour enchaîner les séances
Les courbatures, on les connaît tous ! Certains composants des pré-workouts comme la bêta-alanine et la citrulline peuvent aider à mieux récupérer. J’ai personnellement remarqué que mes courbatures étaient moins intenses quand je prends mon pré-workout régulièrement.
8. Le mental au top : la motivation en plus
Le dernier avantage, et pas des moindres : l’impact sur le moral ! Les pré-workouts influencent positivement la production de dopamine et de sérotonine. C’est ce petit plus qui vous fait sourire même pendant les séries les plus difficiles.
Sources :
[1] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5877712/
[2] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4434044/
[3] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3520313/
[4] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4237912/
[5] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4003141/
[6] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5043307/
[7] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3614695/
[8] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4434044/
[9] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3520313/